Seattle Sonics

Ca degaine vite, mais y'a pas grand chose a l'interieur.

j'aime bien cette équipe mais c'est vrai que c'est des spécialiste en dégaine mais quant ca rentre ca fait mal et quant ca rentre pas ils se prennent une raclée

petro joue de mieux en mieux à l'intérieur

Les Spurs pas supers...
Soirée à oublier pour les champions en titre. Quatre jours après s'être inclinés à Denver, les Spurs ont en effet concédé une deuxième défaite en trois matches en tombant, cette fois, à Seattle. Emmenés par un Ray Allen à la fête, le maître-artificier du Washington inscrivant non seulement 33 points mais enquillant également le tir primé de la victoire, les Sonics l'ont en effet emporté 106-102 malgré les efforts du Big Three texan. Car une fois n'est pas coutume, les trois leaders naturels de San Antonio ont tous été vus à leur avantage, Tim Duncan compilant 28 points et 10 rebonds, Tony Parker et Manu Ginobili l'épaulant avec 17 points chacun et le Français ajoutant qui plus est 12 passes et 5 interceptions à son 7 sur 13 aux tirs.

Il en aurait néanmoins fallu plus pour faire oublier l'inhabituelle mansuétude défensive des Texans. Car malgré un réveil dans la dernière ligne droite, les hommes de Gregg Popovich enchaînant trois interceptions et un contre, les Sonics ont terminé avec un décisif 52% de réussite collective et Luke Ridnour et Rashard Lewis en ont profité pour inscrire 19 et 16 points. Les artificiers locaux n'ont néanmoins pas été les seuls à briller. Car si Seattle l'a emporté dans les ultimes secondes, la franchise du Washington le doit également à Johan Petro. Non que l'intérieur français ait tout particulièrement affolé les compteurs, l'ancien Palois rendant au final 6 points à 3 sur 3, 6 rebonds et 2 passes, mais Petro s'est bel et bien montré décisif dans les dernières secondes. Alors que Ray Allen, parti en layup pour égaliser à 102 partout, venait de se faire contrer par Manu Ginobili, c'est en effet lui qui récupérait le rebond puis servait son leader d'attaque derrière la ligne des trois points, lui proposant en sus un écran bienvenu sur Bruce Bowen : le sort de la rencontre était scellé.

cette fois ci c'est rentré et ca a fait très mal